L’e-commerce en Belgique, retour sur 2013
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L’e-commerce en Belgique, retour sur 2013
Q1 : Le chiffre d'affaires réalisé par les e-commerçants belges en 2013 s'élevait à 1,8 milliard d'euros soit une hausse de 20% par rapport à 2012. Quant au chiffre d'affaires global de l'e-commerce en Belgique (volume des ventes en ligne réalisées en Belgique), il avoisine les 2,6 milliards d'euros, dont 60% ont profité à des sites de vente étrangers (français, néerlandais et allemands principalement).
Q2 : Selon une étude de la Commission européenne menée en 2012, le consommateur européen préfère acheter sur des sites de son propre pays plutôt qu'à l'étranger. La communauté de la langue, des référents socio-culturels et des règles de droits entre acheteurs et vendeurs expliquent en grande partie cette préférence. On mentionnera également le montant des frais de port comme un obstacle potentiel au e-commerce interfrontalier. BeCommerce confirme cette situation en révèlant que 72% des achats réalisés auprès des e-commerçants basés en Belgique en 2013 l'ont été par des Belges.
Q3 : 1 entreprise belge sur 8, soit 12,5% de nos entreprises, dispose d'un site d'e-commerce. Ce qui est peu.
Q4 : Return On Investment (le retour sur investissement). L'idée est de percevoir la plus value économique qu'apportera un site web à son activité économique initiale.
Q5 : Le coût salarial de la main d'oeuvre belge est 20% plus élevé que dans les pays voisins. Le taux de TVA est de 21% en Belgique, alors que des pays comme l'Allemagne et le Luxembourg affichent respectivement des taux de 19% et 15%. Il n'existe aucune plateforme de paiement transparente et fiable en Belgique comparable à iDeal utilisée aux Pays-Bas. Les heures de travail prestées entre 20h et 6h du matin sont considérées et donc rémunérées comme du travail de nuit. La livraison de colis est aussi lente que coûteuse en Belgique. Les e-commerçants belges sont soumis à des contraintes légales plus strictes que leurs homologues des pays limitrophes. Les plaintes à l'encontre de commerçants en ligne sont peu ou mal suivies.
Q6 : La Belgique est en retard. La majorité des PME belges n'a pas conscience de l'opportunité que représente un site web et/ou le e-commerce. Elles sous-estiment le potentiel des médias sociaux et n'ont pas conscience que le consommateur d'aujourd'hui s'est digitalisé. En évitant les marchés digitaux, elles se privent de nouveaux marchés, comme l'exportation.
Q2 : Selon une étude de la Commission européenne menée en 2012, le consommateur européen préfère acheter sur des sites de son propre pays plutôt qu'à l'étranger. La communauté de la langue, des référents socio-culturels et des règles de droits entre acheteurs et vendeurs expliquent en grande partie cette préférence. On mentionnera également le montant des frais de port comme un obstacle potentiel au e-commerce interfrontalier. BeCommerce confirme cette situation en révèlant que 72% des achats réalisés auprès des e-commerçants basés en Belgique en 2013 l'ont été par des Belges.
Q3 : 1 entreprise belge sur 8, soit 12,5% de nos entreprises, dispose d'un site d'e-commerce. Ce qui est peu.
Q4 : Return On Investment (le retour sur investissement). L'idée est de percevoir la plus value économique qu'apportera un site web à son activité économique initiale.
Q5 : Le coût salarial de la main d'oeuvre belge est 20% plus élevé que dans les pays voisins. Le taux de TVA est de 21% en Belgique, alors que des pays comme l'Allemagne et le Luxembourg affichent respectivement des taux de 19% et 15%. Il n'existe aucune plateforme de paiement transparente et fiable en Belgique comparable à iDeal utilisée aux Pays-Bas. Les heures de travail prestées entre 20h et 6h du matin sont considérées et donc rémunérées comme du travail de nuit. La livraison de colis est aussi lente que coûteuse en Belgique. Les e-commerçants belges sont soumis à des contraintes légales plus strictes que leurs homologues des pays limitrophes. Les plaintes à l'encontre de commerçants en ligne sont peu ou mal suivies.
Q6 : La Belgique est en retard. La majorité des PME belges n'a pas conscience de l'opportunité que représente un site web et/ou le e-commerce. Elles sous-estiment le potentiel des médias sociaux et n'ont pas conscience que le consommateur d'aujourd'hui s'est digitalisé. En évitant les marchés digitaux, elles se privent de nouveaux marchés, comme l'exportation.
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